Tel :
Christophe Baillat
cbaillat[at]orange.fr
Ce qu’ils en pensent
« Une belle errance géographique et temporelle. Ce n’est pas par chance, le “moi je” ni le “moi essentiel” qui est mis en avant, il n’y a pas de héros. Tu ne prends pas la parole, tu la donnes, tu proposes plusieurs créateurs du texte ! Tu proposes des choses et des personnes qui ne peuvent plus ou pas mourir ». Christophe Guyon
« De l’Ariège, il se dégage de fortes nostalgies. J’aime assez ces passages. Je n’avais jusque-là qu’une approche de Saint-Girons (depuis Toulouse, voire le Pays basque) et vous me donnez envie de le découvrir. On retrouve dans votre texte le profil de l’enseignant bien campé. » Michel Thénard
Merci
pour ce bon moment [ conférence Vera Moore, la pianiste qui eut un enfant avec Constantin Brancusi] passé
ensemble qui m'a permis de découvrir
cette personnalité.
Bernard 29/02/2020
« Très contente d’avoir pu suivre ta conférence en "léger différé", très intéressante et qui m'a rappelé quelques bons souvenirs de notre collaboration autour de V. Moore.
Amitiés.
Bénédicte Koudry-Lahlali. » 07/03/2020
Thierry Jaëgle, lauréat 2018 du Prix de l’association haut-marnaise des écrivains
L'Abécédaire Arland
Avis d'un lecteur
Le parti pris d'une présentation et d'une syntaxe résolument originales, syncopées, désarçonnantes parfois, pour ne pas dire modernes et bousculant l'ordre établi d'un classicisme littéraire cartésien auquel généralement on s'attend et se réfère, m'aura surpris mais en toute spontanéité ... séduit ! Surpris qu'à moitié d'ailleurs, tant j'y ai retrouvé "la pâte, et patte, de Christophe Baillat" tendant à s'installer en label désormais, de publication en publication.
Sans doute t'attends-tu aussi (et quand même !!) à quelque petite remarque moins dithyrambique ?
le jeu de "saute-mouton" du parti pris de ce style syncopé aux ruptures de syntaxe permanentes donnant tant de fraîcheur à l'ensemble quand on en reprend la lecture, tend à l'inverse en "défaut de ses qualités" à rendre cette lecture quelque peu "inconfortable et usante" si on la prolonge trop en "non-stop", à cause d'un essoufflement de concentration certain à toujours sauter d'un mot à l'autre ou d'une phrase à l'autre sans qu'il y ait forcément (plutôt rarement d'ailleurs) de réelle continuité. Il y a donc eu nécessité, au moins pour moi, de lire ta jolie œuvre par tronçons pour pouvoir l'apprécier. C'était un certain risque à prendre sans doute, tu l'as pris. Bravo.
Et dans ce même ordre de ressenti, il est arrivé parfois aussi que je ne sache plus si je lisais du Marcel Arland ou d'autres auteurs cités dans le texte ou du Christophe Baillat, sans pour autant avoir l'envie de m'attarder à tirer l'affaire au clair pour ne pas lâcher le plaisir instantané de la lecture en cours.
Gilbert Cheyrou
18/10/18
J'ai relu avec beaucoup d'intérêt le cahier que constitue "L'abécédaire Arland". Beau document et chargé d'incitations à reprendre l'œuvre.
Michel Thénard, 14 juin 2018
« j'ai lu ton livre [Le neveu de l'abbé Morel] et je voulais t'en remercier. J'ai pris beaucoup de plaisir à me transporter dans ce XVIIIe siècle, avec sa langue que tu maîtrises parfaitement, ses salons, ses moyens de transport, ses ambitions industrielles et aussi - même sans te connaître, c'est évident - la patte de l'inspecteur du travail... qui aurait eu fort à faire à l'époque !!! Grand merci pour tout cela. » Vincent Zeller 01/05/2022
" J'ai pris beaucoup de plaisir à lire votre livre qui relate l'amitié entre Victor Hugo et Nadar mais aussi nous relate une biographie des deux hommes à travers les lettres des proches et de leurs collaborateurs, amis ou opposants.
Ce style atypique pour une biographie permet de se plonger aisément et rapidement dans l'histoire, qui possède un très bon rythme [...] " Rémy Hage 7.11.2018
PS : L'intégralité de la critique reçue, un jour, dans ma boîte aux lettres, est à retrouver sur la page Facebook d'Yvelinédition / François Baudez
Frédérique Daval m'a transmis vos coordonnées […] A l'époque, vous aviez donné quelques pages [Nadar & Hugo] à lire à Dominique Véron et cela m'avait bcp intéressé et du coup, j'avais eu l'occasion lors d'un salon du livre de faire l'acquisition de votre livre pour Dominique et pour moi-même. Frédérique m'a indiqué qu'elle avait eu l'occasion de dessiner les premières de couvertures de certains de vos livres. Je ne lui connaissais pas ce talent.... Lionel VERGNES (Paris)
En 2017, quelques adhérents de l’association des Amis des Musées de la Métropole et du Département de la Seine-Maritime ont constitué un comité de lecture, portant sur des ouvrages liés à Victor Hugo.
Lire la fiche du Comité de lecture Victor Hugo
consacrée à Nadar & Hugo
COMITE DE LECTURE VH-AMMD Compte-rendus du 20 juin 2017
Régulièrement, de nouvelles critiques seront mises en ligne sur cette page.
Bonnes lectures !
Fatiha EL KHELFI Amis des Musées de la Métropole et du Département de Seine-Maritime (AMMD-SM) 198 rue Beauvoisine 76000 Rouen
J’ai lu ton ouvrage [ Vera Moore...]. Je ne connaissais pas le nom de cette pianiste qui vécut à Jouy-en-Josas.
Quelle vie mouvementée entre la Nouvelle Zélande de son enfance, l’Angleterre où son talent de pianiste devient international. Ses concerts internationaux. Sa vie en France, Paris et l’Indre-et-Loire, l’exode en Dordogne avec son fils.
Je suis un peu frustrée de n’avoir pas eu un petit chapitre sur sa rencontre avec Constantin Brancusi jusqu’à la naissance de son fils.
Si en 1984 elle habitait Jouy, elle devait avoir environ 75 ans. Elle habitait Jouy quand j’y ai habité moi-même de 1972 à 1981 ! A l’époque, personne ne nous parlait d’elle. Etonnant puisqu’elle aurait vécu jusqu’à 101 ans !?
Amitiés,
Françoise Monath - [ lecture préparatoire à une présentation pour les "brèves de lecture" du Réseau] Culture & Bibliothèques pour Tous
Bonsoir Christophe.
Je viens de lire aujourd'hui d'une seule traite -- ce qui est de bonne augure -- ton dernier "bébé", et j'ai beaucoup - beaucoup aimé, particulièrement la première partie.
Je l'avais juste feuilleté le jour de sa réception, et la découverte de sa conception exclusivement épistolaire m'avait fait craindre quelque "inconfort" ou "lassitude" à sa lecture. Quelle heureuse surprise de découvrir qu'il n'en est rien,
et qu'au contraire même la tournure ludique ne manque pas de rapidement s'installer, partagé entre le désir d'aller voir aussitôt avant de la lire le nom de l'émetteur de la lettre, et le plaisir de le deviner par ses seuls propos.
Le style est alerte, limpide, un régal, et pimenté de ces expressions délicieuses que l'on suppose "d'époque", à moins qu'elles ne soient le fruit de ta propre imagination (?) ; les deux probablement. L'intérêt lui aussi est croissant, captivant. Un Grand Bravo, vraiment !
Un petit bémol toutefois ? L'impression d'un roman inachevé. Après nous avoir "mis l'eau à la bouche", il me semble qu'il chute inexorablement en même temps que le ballon de Nadar du côté de Meaux. Le style n'est pas en cause, qui campe bien sur la lancée de la première partie, mais "l'intérêt" survole un peu trop je pense les péripéties de l'époque du fait de la brièveté de la deuxième partie. "La matière", le "filon", me paraissent sous-exploités, au point que tu pourrais les retravailler et poursuivre le roman, en le "musclant" ?
Par exemple, je m'attendais au fil de sa lecture -- excellent d'ailleurs pour le suspense -- à un inévitable conflit à venir entre Hugo et Nadar quand celui-ci informe Hugo qu'il a accepté de bénéficier du soutien financier du régime de LNB -- l'ennemi juré d'Hugo pourtant -- au prétexte de contribuer au progrès etc. Déception et "pétard mouillé", Hugo zappe tout ça et ne bronche pas !
Mais bon, de tous tes écrits, c'est celui-ci qui m'aura procuré le plus de plaisir, tant pour le style que pour l'intérêt du thème choisi, et très beau travail de documentation aussi. L'écrivain creuse son sillon ! Encore Bravo.
Bien Amicalement.
Gilbert Cheyrou (Croissy-sur-Seine) @ 6 novembre 2010-11-07
PS : Gilbert taquine la muse, entre histoire familiale et compte rendu de voyages